« La littérature peut ne pas être consensuelle, verbeuse et chiante. » Tel est le point de départ de cet essai : (ré)inscrire la littérature dans le champ de la culture pop subversive, donnant à voir la multiplicité des possibles désirables, au même titre que le cinéma, la musique, la bédé, les jeux vidéo…
Elle peut prendre la forme d’une claque ou d’un cocktail Molotov. Elle l’a fait, le fait encore, le fera tant qu’il y aura des tarés, des marginales, des inadaptés, des invisibles pour nous conter des histoires, jusqu’au dernier feu de camp des derniers humains qui auront survécu à la toute fin de la fin du monde.
Au cœur d’un capitalisme qui broie les voix dissonantes et uniformise tout produit culturel, y a-t-il encore de la place pour des récits d’émancipation bien vénères ? Spoiler : la réponse est oui.