Alexandre Marius Jacob
Travailleurs de la nuit
Alexandre Marius Jacob
Article mis en ligne le 24 octobre 2011
dernière modification le 20 mai 2020
Ce livre contient l’adresse que le monte-en-l’air Jacob rédigea lors de son procès en 1905, Pourquoi j’ai cambriolé, suivi des Souvenirs d’un révolté, écrit en prison, qui relate avec verve ses derniers jours de liberté en même temps qu’il donne un aperçu saisissant du milieu illégaliste de la « Belle époque ».
« Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend. »