Une semaine de péché résume l’histoire d’un ouvrier que ses interrogations sur sa condition mènent à se révolter. Cela ne va pas sans aléas ni heurts dans une petite ville inféodée à l’usine locale.
Paru en Suède en 1948 ce roman demeure plus que jamais d’actualité dans un monde où les rapports de l’individu et de la société – on pourrait même dire de l’humain et du capital – sont de plus en plus incompréhensibles et tendus pour les gens de petite condition.
Réactionnaires s’abstenir, à moins d’un désir de voir un peu plus clair dans les relations sociales !
Né en 1904, Folke Fridell fut l’un des derniers représentants de la grande génération des écrivains prolétariens suédois. Il est venu à la littérature immédiatement après la Deuxième Guerre mondiale – alors qu’il était encore ouvrier du textile – pour dire la misère du prolétariat industriel et exprimer certains doutes sur le « progrès social ».
Paru en 1948, Une semaine de péché fut l’un des premiers romans d’une longue série sur le thème de la révolte. Fridell disparut en 1985.
Roman traduit du suédois et présenté par Philippe Bouquet.
Nouvelle édition entièrement refondue
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