André Héléna
Les Flics ont toujours raison
André Héléna
Article mis en ligne le 31 mai 2011
dernière modification le 26 septembre 2017
Un pauvre bougre, tombé pour cambriolage, cherche vainement à se réinsérer dans la société.
Ce qui fait surtout la force du récit, c’est la dénonciation de la torture et de la prison qu’Héléna considère comme une matrice criminelle. Dénonciation aussi de la justice comme machine à punir, voire à broyer l’individu.