Marc Wilmet
Brassens libertaire
Article mis en ligne le 3 décembre 2010
dernière modification le 19 juillet 2020
On lira avec jubilation dans ce volume les chroniques souvent virulentes que le jeune Brassens, alors inconnu, avait confiées sous pseudonyme à un hebdomadaire anarchiste bien connu. Il y clame sans fard son dégoût de la société, de l’hypocrisie et des asservissements, des gendarmes, de l’armée, de l’argent, de la religion, de la politique...