Johann Charvel,
L’Œil du vigile
Article mis en ligne le 9 janvier 2008
dernière modification le 4 juillet 2019
Engraissant dans son mirador, Henri épie les clientsgrâce à ses douze écrans de surveillance. Dans uneville nouvelle en décrépitude, où l’unique lieu dedivertissement est le centre commercial, l’auteurdécrit un environnement déshumanisé, pesant,tentaculaire. Entre transgressions et coups de folie,les plus indociles tentent de résister à l’étouffanteroutine d’une vie quotidienne contrôlée parl’économie.