Gurvitch élabore ici une sociologie de la connaissance puis analyse le rapport qui existe entre le savoir et certains groupements humains (familles, usines, Etats, Eglises) ; certaines classes sociales (paysanne, bourgeoise, prolétarienne, technobureaucratique) et certains types de sociétés (archaïques, théocratiques, patriarcales, féodales, libérales, fascistes, communistes, libertaires). Il met en lumière leurs particularités et différences fondamentales et donne pour chacun de (...)
Accueil > Mots-clés > Éditeur > Éditions TOPS / H. Trinquier
Éditions TOPS / H. Trinquier
Articles
-
Les cadres sociaux de la connaissance
22 juillet 2010 -
Avertissement aux propriétaires
11 janvier 2010Deuxième et troisième Mémoires sur la propriété, l’Avertissement conduira Proudhon devant la Cour d’assises.
-
Etatisme et Anarchie (1873)
2 octobre 2013« Nous nous déclarons ennemis de tout pouvoir d’État, de tout gouvernement, ennemis du système étatique en général ; et nous pensons que le peuple ne pourra être heureux et libre que lorsque, s’organisant de bas en haut, au moyen d’associations autonomes et entièrement libres [...], il créera lui-même sa vie. »
-
La Grande Révolution
29 janvier 2010L’histoire parlementaire de la révolution française, ses guerres, sa politique et sa diplomatie ont étudié et raconté dans tous les détails. Kropotkine entreprend l’histoire du peuple des campagnes et des villes.
-
La vie ardente et intrépide de Louise Michel
10 février 2010Il y a un siècle, deux cent mille personnes suivaient le corbillard de dernière classe de celle que le peuple avait surnommée la Vierge Rouge. La vie ardente et intrépide de Louise Michel demeure sans doute sa meilleure biographie.
-
Idée Générale de la Révolution
11 janvier 2010« Être GOUVERNÉ, c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié, censuré, commandé, par des êtres qui n’ont ni le titre, ni la science, ni la vertu... »
Suite logique des Confessions d’un révolutionnaire, l’Idée générale de la révolution est le livre dans lequel Proudhon démontre l’impuissance de la politique à résoudre le problème social et un appel à tous les hommes épris de liberté à abandonner l’impasse (...) -
La science moderne et l’anarchie (Édition augmentée de 1913)
1er décembre 2015Voici un texte assez rarement réédité. C’est pourtant sans doute le livre dans lequel Kropotkine affirme le plus clairement son anti-étatisme. La première version parut en 1901. Nous reproduisons celle, augmentée, de 1913, c’est-à-dire celle écrite à la veille de la guerre de 1914-1918 et de la révolution bolchévique. Kropotkine y fait preuve d’une clairvoyance tout-à-fait surprenante, ce qui ne l’empêchera pas de cosigner le « Manifeste des seize » appelant à la participation à la grande (...)
-
La Guerre et la Paix - Tome 2
11 janvier 2010"Chose digne de remarque, la fin de la période de la guerre coïncide avec la fin de la mission chrétienne. C’est qu’en effet le symbolisme théologique est une émanation de la pensée guerrière et qu’ainsi la même révolution qui a aboli le droit divin doit abroger la juridiction de la force."Proudhon entreprend l’analyse de l’un des faits les plus étranges et les plus constants de l’humanité : la guerre. Principal moteur de l’évolution des sociétés, révélation religieuse, révélation de la (...)
-
L’Entraide
29 janvier 2010« Dans la pratique de l’entraide, qui remonte jusqu’aux plus lointains débuts de l’évolution, nous trouvons la source positive et certaine de nos conceptions éthiques ; et nous pouvons affirmer que pour le progrès moral de l’homme, le grand facteur fut l’entraide, et non pas la lutte. »
Kropotkine corrige Darwin en démontrant que l’entraide est un des facteurs de l’évolution au moins aussi important que la lutte pour l’existence. -
La Révolution sociale démontrée par le coup d’Etat du deux décembre (1852)
1er octobre 20132 décembre 1851, Louis-Napoléon Bonaparte organise le coup d’État qui lui permettra de restaurer l’Empire. Un peu plus tard, Proudhon achève sa peine de trois années de prison pour injures au même Louis-Napoléon alors président de la République. Alors que la plupart des républicains choisissent l’exil, Proudhon propose ses services pour aider Louis-Napoléon à laisser le pays se gouverner lui-même car ce dernier n’a qu’une seule alternative : césarisme ou anarchie.