L’expansion de l’Internet a suscité rapidement le même attrait, et dans une proportion encore accrue, puisque le développement de la micro-informatique et des réseaux permettait à des coûts plus réduits, et même sur des initiatives solitaires, de diffuser idées et informations. La mouvance libertaire s’est donc précipitée dans la « toile » avec enthousiasme, convaincue d’y trouver un espace de liberté d’expression et de circulation difficile à placer sous contrôle. Avec la satisfaction (...)
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Collectif Réfractions
Articles
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Réfractions n°10 | Les anarchistes et Internet
31 mai 2003 -
Réfractions n°13 | Visages de la science
30 novembre 2004Cette pratique sociale que l’usage courant appelle confusément « la science » a des conséquences majeures sur nos vies, pour le meilleur et pour le pire. Il s’agit d’un ensemble de réalités diverses : méthodes, savoirs, techniques, institutions, interprétations du monde, etc. Pour y voir clair au-delà du brouillage entretenu dans l’opinion publique par divers courants très actifs (postmodernes, religieux, plus ou moins ésotériques, etc.), le présent numéro invite à réfléchir dans trois (...)
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Réfractions n°35 | À l’école des anarchistes
12 décembre 2015Ce nouveau numéro de la revue Réfractions ne s’intéresse pas seulement au rapport critique que les anarchistes ont entretenu et entretiennent encore avec l’école, ni même aux alternatives scolaires que nombre d’entre eux ont pu mettre en place. Bien plutôt, il y est question des manières dont s’élaborent et se transmettent savoirs et techniques au rebours des institutions, des hiérarchies entre maîtres et élèves, des divisions du travail entre concepteurs et exécutants. Et de la manière (...)
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Réfractions n°30 | De l’État
2 octobre 2013Tandis que l’anarchisme réfléchit sur lui-même, il ne peut pas ne pas penser à sa bête noire historique, à son image en négatif : à l’État.
L’État, à l’exemple du Janus bifront, ne se laisse pas définir par les seules formes visibles du pouvoir institué. Il faut regarder son autre face, celle qui révèle les effets de l’aliénation et de l’expropriation de la puissance sociale.
La société sans État, sans pouvoir politique ou domination, est une forme nouvelle à conquérir.