« Nous nous déclarons ennemis de tout pouvoir d’État, de tout gouvernement, ennemis du système étatique en général ; et nous pensons que le peuple ne pourra être heureux et libre que lorsque, s’organisant de bas en haut, au moyen d’associations autonomes et entièrement libres [...], il créera lui-même sa vie. »
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Éditions TOPS / H. Trinquier
Articles
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Etatisme et Anarchie (1873)
2 octobre 2013 -
De la création de l’ordre dans l’humanité - Tome 2
10 janvier 2010"Ainsi, comme critérium de certitude, la théorie sérielle est la fin de la philosophie et l’abolition de la foi religieuse ; comme norme du travail, de la science et de l’industrie, elle est la mesure et le niveau des intelligences."Après avoir rejeté les méthodes de raisonnement religieuse et philosophique, Proudhon ébauche sa dialectique. Oeuvre de jeunesse, l’ouvrage comporte bien des imperfections mais n’en place pas moins son auteur comme le principal fondateur de la sociologie moderne.
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Les conflits dans l’Internationale
10 février 2010Dans la Ire Internationale, Bakounine s’opposa à la conception autoritaire et étatique de Marx.
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La Grande Révolution
29 janvier 2010L’histoire parlementaire de la révolution française, ses guerres, sa politique et sa diplomatie ont étudié et raconté dans tous les détails. Kropotkine entreprend l’histoire du peuple des campagnes et des villes.
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L’Entraide
29 janvier 2010« Dans la pratique de l’entraide, qui remonte jusqu’aux plus lointains débuts de l’évolution, nous trouvons la source positive et certaine de nos conceptions éthiques ; et nous pouvons affirmer que pour le progrès moral de l’homme, le grand facteur fut l’entraide, et non pas la lutte. »
Kropotkine corrige Darwin en démontrant que l’entraide est un des facteurs de l’évolution au moins aussi important que la lutte pour l’existence. -
Les Confessions d’un Révolutionnaire
11 janvier 2010« Il faut avoir vécu dans cet isoloir qu’on appelle une Assemblée nationale, pour concevoir comment les hommes qui ignorent le plus complètement l’état d’un pays sont presque toujours ceux qui le représentent. »
Écrit en prison en 1849, Proudhon analyse l’histoire de la révolution, de 1789 à juin 1848 et définit les grandes orientations que, selon lui, elle devrait prendre. Il revient sur les évènements de juin et son action de député ; sur son blâme à la quasi unanimité de ses collègues (...) -
Solution du problème social
10 janvier 2010"Il n’y a point, il ne saurait y avoir jamais de représentation légitime du Peuple. Tous les systèmes électoraux sont des mécaniques à mensonges : il suffit d’en connaître un seul, pour prononcer la condamnation de tous. (...) Je veux voir, je veux entendre le Peuple dans sa variété et sa multitude, tous les âges, tous les sexes, toutes les conditions, toutes les vertus, toutes les misères : car tout cela, c’est le Peuple."En février 1848, Proudhon est désespéré de voir les (...)
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Propos subversifs (1921)
6 décembre 2009"L’anarchiste se distingue et se sépare de tous parce qu’il ne veut être ni maître ni esclave. il ne veut pas s’incliner mais il ne veut pas que les autres s’inclinent devant lui. (...)Il admet cette formule merveilleuse qui inspirera probablement l’humanité future : Ni maître ni esclave."
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Idées Révolutionnaires
10 janvier 2010« Allez demander à vos prétendus conservateurs, du travail, du crédit, du pain ! Ce qu’ils ont à vous offrir, pour vous, pour vos femmes et vos enfants, c’est du sang et des cadavres !...Et que leur importe ?... Ne seront-ils pas ministres dans quinze jours ?... »
Articles de journaux écrits par Proudhon entre avril et août 1848 (pendant les événements de juin) et regroupés par lui-même en 1849. -
De la création de l’ordre dans l’humanité - Tome 1
10 janvier 2010"Engagé par mes précédents mémoires, et contraint, en quelque sorte, par l’impatience des personnes qui m’ont fait l’honneur de les lire, je devais, avant de poursuivre mon oeuvre de socialiste, faire connaître, qu’on me pardonne l’expression, ma philosophie."Après avoir rejeté les méthodes de raisonnement religieuse et philosophique, Proudhon ébauche sa dialectique. Oeuvre de jeunesse, l’ouvrage comporte bien des imperfections mais n’en place pas moins son auteur comme le principal (...)